Le secret de Charles Ingalls

29.11.2006

Gentil (limite niais), coupeur de bois et chemise à carreaux. Voilà les principales caractéristiques de ce héros des temps anciens, en plus d'être entouré de personnes de sexe féminin. Les grands-mère lui donnerait le bon dieu sans confession (entre nous, bon débarras) et le prendrait comme gendre idéal : "avec lui au moins, y'aura toujours du feu dans la cheminée".

Evidemment, lors de la grande prise de conscience écologiste, l'ancienne gloire fut clouée au pilori pour cause de déforestation intensive.

Et pourtant, tous ces gens sont passés à côté du secret message véhiculé par cet être mystérieux.

Revenons sur la situation. Walnut Grove, une colline avec de l'herbe, une petite fille se vautre (je sais bien que c'est la seule chose que vous attendiez). Charles Ingalls et tous les attributs du pionnier de l'ouest. Tous ? Non, il manque le flingue. Il est le seul héro américain avec pas de flingue... Première étape.

Deuxième étape : le sourire énigmatique. Gentil ou provocateur ? Evidemment, tout le monde aime bien Charles Ingalls... sauf Mme Olson ; elle seule semble avoir compris un bout du message.

Et ce message est que, vu qu'il a pas de flingue, il a pas une petite bite comme les coboy, lesquels sont obligé de tirer sur tous ceux qui voudraient dire le contraire.

Mais Mme Olson est partagée. Elle est très puritaine et cette idée la gène : doit-elle foncer vers le gros zizi ou s'ofusquer de l'existence d'une telle horreur ? D'où le chignon. Elémentaire non ?

La semaine prochaine, la moumoute chauve de Sim.